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COIN LECTURE
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Prenant
conscience
qu’une
explication
peut-être
recherchée
à
la
fois
grâce
aux
lois
de
la
physique
3D,
mais
aussi
en
dehors
du
terrain
de
jeu
de
la
physique
3D,
j’ai
passé
le
plus
clair
de
mon
temps
à
privilégier
une
approche
épistémologique
(logique
de
connaissance)
où
les
raisonnements
ne
sont
pas
exclusifs
les
uns
des
autres.
J’ai
mené
cette
recherche
théoriquement,
mais
aussi
concrètement
à
partir
de
thèmes
comme,
par
exemple,
la
transcommunication
audio
et
vidéo
ou
le
phénomène
des
orbes,
notamment.
Je
poursuis
cette
recherche
paranormale
parce
qu’il
est
clair,
selon
moi,
que
des
manifestations
intelligentes
et
des
présences
qui
ne
sont
pas
humaines,
au
sens
où
nous
l’entendons,
existent
et
se
manifestent
à
l’occasion.
Toutes
ces
manifestations,
je
les
appelle
très
génériquement
depuis
plusieurs
années
«
les
Autres
».
Ce
que
certains
nomment
E.T.
,
défunts
ou
encore
anges,
esprits,
etc.
sont
regroupés
dans
cette
notion
générique
des « Autres » .
Cela
étant
dit,
il
est
très
probable
que
notre
conscience
en
train
d'observer
un
phénomène
paranormal
interagit
avec
lui,
il
y
a
sans
doute
un
lien
subtil
entre
ce
que
nous
sommes
et
le
fait
de
vivre
une
expérience
de
ce
type.
On
sait
que
l'observateur
influence
l'expérience
(Cf
travaux de physique quantique)
, je pense qu'en matière de paranormal c'est la même chose. Tout est donc très complexe.
Comment
pouvez-vous
expliquer
que
certaines
personnes
croient
au
surnaturel
?
Y'a-t-il
une
explication
sociologique
qui
justifie
ces
croyances ?
Peut-être
pour
la
même
raison
que
vous-même
et
votre
groupe
avez
choisi
ce
thème
pour
votre
journal...
Réfléchissez,
je
vous
retourne
la
question
et
vous
trouverez
la
réponse
!
Est-ce
uniquement
parce
que
vous
considérez
que
c’est
un
sujet
à
la
mode
que
vous
avez
choisi
ce
thème
du
paranormal,
ou
bien
parce
que
cela
pique
votre
curiosité,
et
que
vous
vous
dites
:
Et
si
jamais il y avait quelque chose de vrai ou de sensé ?
D’abord,
si
vous
me
le
permettez,
je
ne
suis
pas
spécialement
d’accord
avec
vous
au
sujet
du
terme
«
croyance
»
qui
laisse
supposer
d’office
que
nous
sommes,
avec
le
paranormal,
simplement
en
présence
d’une
opinion
philosophique
ou
d’un
acte
de
foi.
Je
ne
partage
pas
spécialement
cette
vision
qui
fait
du
paranormal
une
croyance,
dont
on
sait
qu’elle
s’oppose,
dans la définition communément admise, à quelque chose de rationnel où les faits sont vérifiables par l’expérience.
Ce
point
de
vue
dualiste
est
selon
moi
erroné,
vieillot,
c’est
bien
plus
complexe...
Ou
alors,
suivant
cette
logique
de
croyance,
on
peut
considérer
aussi
que
la
science
est
elle-même
une
croyance,
puisqu’elle
préconise
(notamment
le
scientisme)
de
tout
résoudre
par
la
raison
et
ses
protocoles
;
ceci
est
également
un
acte
de
foi,
et
c’est
ce
qu’on
associe
au
mythe
des
sciences
(et
des
technique
s)
qui
étaient
censées
apporter
le
progrès
constant
et
le
bonheur
de
l’humanité.
Les
progrès
scientifiques
et
techniques
ont
évidemment
eu
des
bienfaits,
quant
au
bonheur
des
peuples
c’est
autre
chose.
Rappelons
que
le
développement
des
techniques
et
de
l’industrialisation
a
aussi
produit
des
guerres
de plus en plus sophistiquées et des armes de destructions massives
(nucléaire, chimique, etc
) .
La
plupart
du
temps,
il
est
vrai
ce
que
les
personnes
aiment
côtoyer
ce
que
vous
appelez
le
«
surnaturel
»
(qui
est
en
réalité
aussi
naturel
qu’autre
chose)
.
Pourquoi
?
Souvent,
parce
qu’on
commence
à
vivre
soi-même
ou
entendre
des
proches
qui
vous
racontent
des
choses
étranges,
extraordinaires.
Cela
peut-être
une
grand-mère,
un
oncle,
un
voisin...
qui
narre
une
expérience
chez
un
médium
ou
un
voyant,
puis
cela
attise
notre
curiosité.
Très
souvent
ces
récits
de
proches
jouent
un
rôle
de
déclencheurs.
Puis,
avec
le
temps,
on
éprouve
le
besoin
de
comprendre, et on s’informe sur les sujets qui nous intéressent.